La mise en œuvre de ce projet sera assurée par le consortium composé de la société publique angolaise, Sonangol, Azule Energy (ENI & BP), Cabinda Gulf Oil Company Limited (CABGOC), une filiale de l’américain Chevron, et le français TotalEnergies.
L’information a été donnée ce weekend par le ministre angolais des Ressources Minérales, Pétrole et Gaz, Diamantino Azevedo.
Pendant la phase de construction des plates-formes respectives, quelque 400 nouveaux emplois seront créés et 300 autres emplois pendant la construction de l’usine de traitement de gaz terrestre, dans la municipalité de Soyo, dans la Province du Zaire.
Le ministre a ajouté que le NCG prévoyait également des contributions à des projets sociaux d’environ deux millions de dollars par an, depuis le début de la production jusqu’à la fin de la période de production de la concession en 2056.
Pour commencer les activités d’exploration dans les gisements de Quiluma et Maboqueiro (Q&M), un Contrat de Service de Risque, évalué à environ quatre milliards de dollars américains a été signé vendredi à Luanda entre l’Agence Nationale du Pétrole, Gaz et Biocarburants (ANPG) et le NCG, pour couvrir les coûts d’investissement et d’exploitation tout au long du cycle de vie du premier projet de ce type dans le pays.
La production de gaz non associé au pétrole est considérée, selon le ministre, comme une étape importante dans la réalisation des objectifs définis par l’Exécutif angolais, en mettant l’accent sur l’attraction des investissements, la valorisation de l’économie et la contribution significative à la croissance du PIB.
Il a également souligné le projet comme historique dans le secteur gazier, car il coïncide avec les célébrations des 50 ans de l’indépendance nationale, qui seront célébrées le 11 novembre 2025.