« La signature de ces accords constitue une étape décisive, établissant un cadre complet pour les infrastructures majeures du projet Simandou », a indiqué dans un communiqué le géant minier anglo-australien Rio Tinto Simfer, qui devra exploiter Simandou en partenariat avec l(entreprise chinoise Winning Consortium.
Ces accords prévoient la construction d’un chemin de fer d’environ 670 km pour relier le corridor minier à un port minéralier sur la côte guinéenne au sud de Conakry.
Les travaux de construction de ces infrastructures pour « faciliter l’exportation du minerai de fer et le transport de passagers/marchandises » doivent être terminés en décembre 2024.
Situé au pied du mont Nimba dans le sud-est de la Guinée, à la frontière avec le Libéria, le gisement de fer de Simandou est l’un des plus vastes gisements de fer au monde dont la production potentielle est estimée à 100 millions de tonnes de minerai de fer.
La première production commerciale est d’ailleurs prévue au plus tard le 31 mars 2025.